Donc c'est moi ⭐déjà je suis choqué de ta gentillesse c'est vraiment trop gentil ! Je comprends très bien si tu veux pas tout lire vu que c'est très long. Donc tkt. 💕🤞😘
La première chose calice vie en arrivant dans la gare, ce fut cette immense sapin qui trônait la, entre une machine à billets et le comptoir. Des guirlandes étincelante couraient le long du mur, Cachan partiellement le panneau annonçant les arrivées et départ de train. Soudainement prise d'un doute, la jeune fille tatona dans sa poche avant de sortir son billet. Privé d'autres loisirs elle s'abandonna à la contemplation de ce petit bout de papier. Il annonçait qu'Alice devait prendre L'Express, un train de nuit, à destination de Vienne. elle leva les yeux vers la grande horloge. Dix heures 20.
Alice ne devait plus tarder tenant toujours son billet à la main, elle passa devant les portes. Elle s'ouvrir, laissant entrer un groupe de personnes et un courant d'air glacial qui la fille frissonner. Durant quelques minutes, Alice tenta de se frayer un chemin à travers la foule qui semblait gagner en consistance à vue d'œil. Elle arriva enfin devant son train et tandis son billet de première classe au contrôleur.
Après avoir trouvé sa cabine et s'être installé, elle cola son visage contre la vitre, observant le spectacle de la foule. Là-bas un petit garçon pleurait, assis par terre, devant sa valise ouverte, qu'il venait apparemment de renverser. Un peu plus loin, un homme disparaissait derrière un chariot à bagage débordant de valises.
Un coup ébranla le train et quelques secondes plus tard, Alice compris qu'il partait enfin. Elle se retourna pour sortir son livre point facel une femme l'observait en écart qui ont les yeux ; alice ne l'avait pas entendu entrée. La jeune fille sursauta et se cogner contre son lit.
- quel drôle de personne, pensa à t elle.
La passagère avait une coiffure très compliqué, composé de boucles rigides et décoloré. De nombreux châles et écharpes tombaient le long de ses épaules et quelques perles ruisselait sur son coup.
- je me présente, dit-elle d'une voix au perché, madame Williams, romancière. Enfin fit elle avec un rire qui sonne est faux, quand je dis présenter, c'est une manière de parler, vous devez me reconnaître, c'est moi qui ai écrit '' un cadavre et 4 statuettes '' !
Alice avait lu beaucoup de livres mais aucun ne portait ce non.
- Heu ... Alice, enchanté...
- vous aimez les romans policiers ? Ajoute à t-elle sans autre préambule.
La jeune fille hocha la tête.
- je vous conseille alors ma trilogie de livre'' un meurtre entre Paris et New York '' c'est une histoire absolument merveilleuse !...
Mais Alice ne suis pas en quoi '' un meurtre entre Paris et New York '' était si exceptionnel, car une fille qui devait avoir à peu près le même âge qu'elle tapota l'épaule de l'écrivaine. Elle était habillée d'une robe noire, très simple, qui contrastait avec les habits extravagants de Mademoiselle Williams.
- heu...un passager te demande.
L'écrivaine soupira puis ajouter à l'adresse d'Alice.
- je m'excuse, on m'appelle de tout côté. Finalement, je me demande si je n'aurais pas du garder l'anonymat ! Je vous présente ma fille Louise.
Louise esquissa un sourire timide.
- et bien au revoir ! dit la femme dans ton théâtral. J'allais oublier, dit-elle en revenant sur ses pas.
Elle fouilla dans son sac et en sortie un exemplaire neuf de ''un meurtre entre Paris et New York''
- voilà , je vous l'offre. Ne me remercier pas, ça me fait plaisir.
Alice attendit que les silhouettes des deux femmes eurent disparu de l'autre côté de la porte avant de jeter un coup d'œil à la 4e de couverture. Une immense photo de madame Williams cette année-là . Elle arborait un sourire triomphant, brandissant le livre.
Alice soupira profondément et baissa les yeux.
À ses pieds, gisait une petite pochette écarlate. Elle se rappelait l'avoir vu dans le sac de l'écrivaine, quand celle-ci l'avait ouvert. Prise d'un élan de sagesse, elle décida d'aller voir le contrôleur pour connaître le numéro de la cabine de Mademoiselle Williams. Une fois qu'elle lui recueilli la précieuse information, elle partit en quête de la cabine numéro 18. Elle la trouve va rapidement et toqua à la porte. Pas de réponse. Elle se décida à rentrer. Après tout elle ne faisait rien de mal. Personne ! La pièce était vide... Alice s'assie sur le lit, réfléchissant. Enfin, elle se rappela que la dame avait été demandé par quelqu'un .
Elle aurait pu attendre le lendemain matin pour donner cette pochette ; mais, elle ne saurait dire pourquoi, le doute la gagnait. Alice fouilla le train de fond en comble. ; demanda à des familles, à des hommes d'affaires en voyage. la réponse était unanime : personne n'avait vu quelqu'un répondant à la description de Mademoiselle Williams ou même de Louise.
Épuisé de sa dernière entrevue avec une passagère particulièrement bavarde, Alice rentrera dans sa cabine et s'allongea sur sa couchette. La nuit était tombée depuis quelques heures maintenant, et la ville s'étendait à perte de vue, les lumières de Noël ajoutant leurs sentiments au lampadaire habituels. Elle sentit quelque chose dans son dos. Le livre ; elle l'avait presque oublié. Pour s'occuper les mains plus que par réel intérêt, elle le feuilleta rapidement, puis le referma.
Aussitôt elle se retrouva à nouveau face à cette image de l'écrivaine qui brandissait son livre. Mais quelque chose fit qu'elle ne reposa pas immédiatement le livre. Quelque chose avait changé elle en était persuadée. Mais oui, maintenant qu'elle regardait attentivement, il lui semblait que l'écrivaine était plus loin sur l'image. Plus encore, son sourire c'était presque effacé, et l'expression de fierté avait disparu.
Elle était face à quelqu'un de complètement différent... Pourtant, ce n'était pas possible. Alice se réveilla le lendemain par une secousse violente, sans se souvenir de s'être endormi. Le train arrivait en gare. Elle s'efforça de remettre ses affaires dans sa valise et son regard tomba à nouveau sur le livre. L'expression de l'Autrice semblait s'être durci et Alice avait l'impression qu'elle s'était encore éloignée. Elle ferma les yeux, les rouvrit; mais rien n'avait changé.
La jeune fille sorti dans le couloir, bousculer par des voyageurs impatients. Il pleuvait. Elle scruta les passagers mais ne reconnaît pas l'étrange femme. Le livre lui échappa des mains et tomba dans une flaque d'eau. Alice nulle pas le temps de réagir : un instant plus tard, le livre avait été piétiné.
La couverture c'était déchiré et l'encre avait bavé rendant le texte illisible.
C'était tout ce qui restait de ce livre, tout ce qui restait de Mademoiselle Williams...
Hey 👋🏼
C'est encore moi ...j'ai vu le commentaire méchant que quelqu'un a mis,c'est juste une jalouse t'inquiète continue 👁🫦👁 Merci pour ta dédicace 🫶🏼 ma p'tite star 🫧 Bisou💋